Dernière tentative de débat
L'O.U.P.S. lance une dernière tentative de débat avec le Président de l'Ordre des Médecins du Hainaut suite à l'acharnement contre les médecins qui ont traité leurs patients contre la Covid-19...
L'O.U.P.S. lance une dernière tentative de débat
Voici la lettre que le Président de l'O.U.P.S. adresse au Président de l'Ordre Provincial du Hainaut en date du 17 septembre 2023.
Monsieur le docteur Bruart,
Président de l’Ordre des Médecins du Hainaut
6 rue des archers
7000 Mons
Le 17 septembre 2023
Monsieur lePrésident,
J’ai l’honneur de vous inviter à vous présenter le dimanche 15 octobre à 10 heures devant le Conseil de l’Ordre Universel des Praticiens de la Santé pour vous entendre exposer vos moyens de défense sur la dérive de l’Ordre du Hainaut et sur votre acharnement à persécuter des médecins qui ont traité leurs patients dans le respect de la plus noble tradition médicale.
La Science leur a donné raison et vous donne tort.
Vous avez soutenu la désertion des médecins en leur déconseillant de repositionner des traitements dont ils avaient la maîtrise, la Science confirme que ces traitements sauvaient des vie. Vous avez invité les médecins à faire la promotion d’un vaccin dont ils ignoraient tout et vous aussi, la Science dit aujourd’hui que l’ARNm a tué ou gravement invalidé des jeunes qui n’étaient pas menacés par l’épidémie de SARS-CoV2.
Vous devez mesurer la gravité de vos actes et leurs conséquences dramatiques.
Si la justice existe, c’est bien plus qu’une suspension à laquelle vous vous exposez en refusant une fois encore le débat. Les procédures qui se succèdent échouent parce que le rempart que construisent vos amis n’a pas encore cédé, mais nous sommes des millions à en faire l’assaut.
Nous finirons par l’éventrer…
L’invitation de l’O.U.P.S. est la dernière initiative amiable. Nous désirons vous rencontrer pour comprendre et tenter de trouver ensemble un retour raisonnable à la norme.
Comprenez tout l’intérêt pour vous d’une telle confrontation. Nous ne demandons pas mieux de vous pardonner parce qu’il est évident que vous avez comme nombre d’entre nous été soumis à des pressions qui ne répondent pas à vos convictions et qui étouffent la raison.
Que diriez-vous de passer dans le camp de l’honneur et de la dignité ?
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en mes sentiments les plus distingués.
Alain Colignon
Président de l’OUPS
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